I\'m not superman. ELiSABETH.

Nom : Alvarez

Prénom : Elisabeth Sara

Âge : Vingt quatre ans.

Groupe : Bandit / Hors-la-loi. (Elle passe pour une simple citoyenne à Dodge City mais en réalité elle est recherchée pour avoir tué cinq personnes dans une ville voisine.)


Description physique :
Sans hésitation, on peut dire que Elisabeth est une belle jeune femme, même très belle. De longs cheveux bruns, presque noirs, ondulés ou bien lisses, où est la différence puisque dans les deux cas, ça lui va très bien ? Parfois attachés, Lisbeth laisse le plus souvent ses longs cheveux sombres libres pour qu'ils puissent danser au rythme du vent, même lorsqu’elle grimpe sur le dos d’un cheval. Cette longue chevelure encadre deux perles, bleus nuits, bleus ciels, grises, elles s’éclaircissent avec le soleil. Inutile de préciser que ce regard est particulièrement envoûtant. Cette belle brune est une sportive, elle monte beaucoup et n’a pas peur de se salir. De taille moyenne, Elie mesure un mètre soixante neuf et ne pèse pas bien lourd, fine, elle possède de petites jambes aux muscles pas très voyant et des bras tout aussi délicats. Mais sous son apparence fragile, la jeune femme possède suffisamment de force pour tenir plusieurs heures sur un équidé lancé au galop, et elle sait aussi très bien se battre malgré son allure de femme superficielle. Justement très légère mais avec des muscles là où il faut, et aussi particulièrement souple et agile, c’est une acrobate aux réflexes affûtés. Menue sous un regard global, elle possède tout de même quelques attributs féminins non négligeables, comme sa poitrine ou ses hanches, ses quelques formes suffisamment galbées à son goût lui confèrent une petite dose de charme en plus. En bref, elle attire une jolie foule de prétendant, sauf que voilà, aucun ne l’intéresse, plus jeune déjà, elle plaisait aux jeunes hommes mais préférait monter à cheval ou bien s’entraîner aux poignards volants, chacun ses passes temps.
Entrons dans les détails. Son sourire, pas souvent présent mais déconcertant, ses petites lèvres roses laissant de temps en temps échapper un rire doux et cristallin, ou bien son petit nez ou encore ses pommettes et son teint de pêche.. Les rares personnes ayant pus toucher ne serait-ce qu'une infime partie de son corps sont formelles, elle à la peau douce comme celle des bébés. Même dans ce monde, elle peut prendre soin d’elle, il lui arrive d’être crasseuse après une longue cavalcade, mais cela ne dure pas longtemps, dés qu’elle à l’occasion de se laver et de prendre soin d’elle, elle n’hésite pas, c’est une femme après tout.


Description mentale :
Fraîche, intuitive, mystérieuse. Petite, c'était un rayon de soleil. En grandissant, c'est devenu un ice-berg. Mais elle garde sa douceur, son innocence. Malgré son côté femme-enfant, elle sait se faire respecter. Froide, ses traits sont souvent dure et elle n'a aucun soucis à faire taire son entourage lorsqu'il le faut, pas besoin de crier et de se détruire la voix en menace, les regards peuvent suffire, une colère froide peut être bien pire. Généreuse, patiente, susceptible. Egalement maternelle et exigeante, elle peut se montrer particulièrement difficile d’un seul coup, n’acceptant que le meilleur de son entourage, mais l’instant d’après elle redeviendra une femme douce et silencieuse. Pas tout à fait lunatique, elle joue sur deux fronts et doit les gérer sans être démasquée ce qui est loin d’être facile.
D’un côté il y a la pétillante Lisbeth, ce surnom que lui donnait sa mère est devenu son nom de scène. Belle et enjouée, charmeuse et attirante, elle joue du piano et chante telle une diva, ensorcelant son entourage et jouant l’allumeuse dans une robe moulante avec plaisir, ce qui ne déplait pas à la gente masculine souvent présente dans le saloon. Voilà la jeune femme sur d’elle et superficiel. De l’autre côté, il y a Elie. Une femme forte et dure, susceptible et dangereuse, tout aussi belle, s’est une battante, une guerrière qui n’a peur de rien. Sportive et talentueuse, elle jongle entre les courses à cheval et les duels, mais elle n’aime pas les armes à feu, son péché mignon, ce sont les poignards. Tueuse à ses heures, celle qui provoque avec nonchalance les hommes en tenue particulièrement aguicheuse devient intouchable, froide, elle se permet même de ridiculiser des cowboys au poker.
Elisabeth mène un peu une double vie, d’un côté il y a la belle brune brûlante, et de l’autre la tueuse pleine de rancœur qui déteste une bonne partie des hommes blancs. Rancunière, cette femme à moitié indienne a vu sa mère mourir sous ses yeux, mais cette petite tendance à la schizophrénie ne vient pas de là, elle aime le risque, le jeu, c'est une femme franche et droite. Elle le clame haut et fort, mais où est le problème ?


Histoire :


Dans un ranch un peu en retrait d'une ville américaine, la famille Alvarez prenait calmement le diner après une journée bien remplit. Monsieur Alvarez, grand éleveur de chevaux, sa femme, une belle indienne dotée d'une voix d'or, et leurs deux petits monstres, un joli garçon d'environ six ans aux yeux noirs comme sa maman, son teint sombre comme celui de sa mère ne laissait aucun doute sur ses origines. Et la petite dernière, une jolie brunette de quatre ans, un teint plus clair que son aîné et des yeux aussi bleu que le ciel, net ressemblance avec son paternel sur le plan physique, mais aussi pour le reste, car malgré son jeune âge, cette enfant était déjà complètement amoureuse des chevaux.

- Quand je serais grande, je serais un cheval.
- Mais tu es en déjà un, et maintenant petit mustang, au lit !
- Oui maman. Bonne nuit.

Une petite frimousse entourée de cheveux chocolats déposa un gros bisous sur la joue de sa mère, puis de son père. Ensuite, elle tira la langue à un petit garçon à peine plus âgé qu'elle et celui-ci fit de même, les deux gamins se jugèrent du regard mais sous celui de leurs parents, ils ne firent rien, et la petite rejoignit sa chambre tout sourire, plus tard, elle serait une belle jument toute blanche, ou bien marron, ou alors avec des tâches de toutes les couleurs.. Elisabeth rejoignit son lit et se glissa bien vite sous la couette, des rêves plein la tête et des étoiles pleins les yeux.


Fièrement dressée sur un bel étalon gris, une jeune fille de sept ans s'agrippait à la crinière de l'animal, montant à cru, la petite ne semblait pourtant pas impressionnée et bougeait en rythme avec le cheval, comme s'ils ne faisaient qu'un. La première fois qu'elle avait put grimper sur le dos de l'un des chevaux élevés par son père, la petite s'était éveillée d'un seul coup, comme si le simple fait d'être en contact avec l'un de ses beaux équidés lui donnait envie de vivre, envie de sourire.. Et c'était le cas. Amoureuse des animaux et tout particulièrement de ceux là, Elie profitait de tout son temps libre pour monter, elle se sentait bien, tout simplement. Un bel homme accoudé à la barrière surveillait la petite qui galopait sans peur, une lueur de fierté dans ses yeux bleus, son enfant était tout comme lui, même si à cette instant, elle lui faisait surtout penser à une petite indienne, elle ressemblait à sa mère, plus qu'au premier regard.
La jeune femme avait quitté sa tribu pour venir vivre avec le dresseur de chevaux, mais elle gardait une part de mystère et de liberté singulière, celle-ci était, à cet instant, visible dans les yeux de sa fille.

- Tu sais que tu montes comme les indiens Elie ?
- Quand je serais grande, je serais une princesse indienne.
- Ta maman est une princesse indienne, donc tu en es déjà une.
- C'est vrai ?
- Bien sur.

Un sourire dés plus éclatant éclairait le visage de la petite cavalière, et le même avait élut domicile sur le visage de son père, le soleil qui commençait sa descente semblait lui aussi, rayonner plus que d'habitude, comme s'il voulait rivaliser avec la petite pleine de bonheur. Celle-ci continua de galoper un petit moment, puis alla s'occuper du cheval, toujours un sourire accroché aux lèvres. Après l'avoir panser et nourrit, la petite brunette s'occupa des autres animaux, ses parents la laissaient faire sans crainte, mais lorsqu'elle ne rentra pas pour diner, Jack Alvarez se rendit dans les le petit bâtiment où Elie devait se trouver, elle s'était endormie dans la paille près d'un poulain qui venait tout juste de naître, couchée en boule près de la jument baie et de son petit, elle souriait dans son sommeil et son père n'eut pas le coeur de la séparer des deux équidés.


Un jeune garçon de quinze ou seize ans tentait de jongler avec trois poignards à la lame très fine, après les avoir fait tourner entre ses doigts il visait un poster accroché sur l'un des murs d'une grande, mais ce n'était pas trop son truc les armes blanches et il avait quelques difficulté à bien toute les rattraper et à les lancer sur le poster. Sa petite soeur, une futur adolescente de deux ans de moins que lui, arriva avec une lueur de malice dans le regard, elle lui prit sans hésitation les poignards des mains et commença à jongler avec, pleine de dextérité, elle s'en sortait à merveille et se permit même de tous les lancer sur le visage du cowboy dessiné sur le poster. Elisabeth fit une petit révérence sous les yeux agacés de son frère. Après avoir frimé deux minutes, elle récupérer les trois lames et les redonna à son aîné avec un sourire remplit de fierté.


- Tu vois que ce n'est pas si dure.
- Tu as eu de la chance c'est tout.
- Je suis juste plus douée, et toi, tu es jaloux !
- N'importe quoi, allez va jouer ailleurs..
-Tss.. Quand je serais grande, je serais plus forte que tous les garçons tu verras.
- Mais oui c'est ça..

La fillette ne releva pas les paroles de son grand frère, ce n'était pas la peine, que ce soit lui ou elle, ils étaient tout aussi têtu, et aucun ne donnerait raison à l'autre. Si Elie se débrouillait si bien avec les armes blanches, c'était parce qu'elle les trouvaient fascinante, depuis toute petite, elle allait piquer les poignards de son père et jouait avec, évidemment, elle s'était coupée bon nombres de fois, mais ça en valait la peine, et elle comptait bien continuer ainsi et devenir l'une des meilleurs jongleuses de couteaux du monde. Même si à son âge, elle aurait dus avoir d'autres préoccupations, cette enfant, passait son temps à se comporter en garçon manqué, mais malgré son amour pour les animaux et la bagarre, Lisbeth affirmait un petit côté lady tout à fait charmant, ce genre de chose commence déjà à treize ans.


Facile de critiquer les indiens, de les traiter de sauvages, pourtant, les plus bêtes et les plus primitifs sont souvent ceux qui se disent civilisés. Dans une ferme pas très loin de la maison, une jeune femme attendait un bébé, et l'enfant voulut pointer le bout de son nez en plein milieu d'une nuit d'hiver, les deux hommes du ranch n'étaient pas là et la jeune fille de seize ans suivit donc sa mère pour l'aider, car dés qu'il y avait un accouchement dans le coin, c'était elle qu'on appelait. Cette nuit là donc, un petit garçon d'à peine sept ans arriva en courant et frappa à la porte, Yepa ouvrit et réussit à comprendre dans tout le charabia du gosse que sa maman allait avoir son bébé. La suite se passa très vite, Elie fut réveillée et dus préparer des lignes propres et une grande bassine qu'on rempliraient d'eau chaude sur place, ensuite, elle dut préparer rapidement deux chevaux de manière à ne pas perdre de temps, l'enfant monta avec elle et le trio s'élança dans la nuit.
A la ferme, le mari tenait la main de sa femme qui hurlait à cause des contractions, la jolie indienne fit sortir tout le monde sauf sa fille qui lui servait d'assistante, elle ordonna également au mari de faire chauffer de l'eau. Dans sa tribu, cette jeune femme était fille de chef et guérisseuse, ici, c'était la sauvage, ou bien la sauveuse, cela dépendait des points de vue. Après plusieurs heures de travail et d'aller-retour pour Lisbeth qui devait changer l'eau et les linges très souvent de manière à avoir toujours quelque chose de chaud et de propre, une jolie petite fille fut posée sur le ventre de sa maman, et c'est Elie qui dut lui donner son premier bain.


- Merci..
- Mais je vous en prit, c'est normal, et votre petite fille est magnifique.
- La votre aussi, tu peux être fière de toi et de ta mère.
- Je le suis, et quand je serais grande, je serais comme elle.
-Pour l'instant met ces linges dans la bassine, on va rentrer, elles ont besoin de repos.
-Merci encore, au revoir et soyez prudente sur la route.

Les deux damoiselles Alvarez quittèrent bien vite la petite ferme où des chèvres étaient élevés, Yepa n'aimait pas trop entrer dans l'intimité des familles et une fois son "travail" accomplit, elle préférait partir. Le mari leur donna un panier avec du fromage et du lait de chèvre, après de nouveaux remerciements, on entendit les sabots de leur montures marteler le sol en direction de leur ranch, il n'y eut pas d'échanges entres elles, la mère de la jeune Elisabeth n'était pas très bavarde et d'une certaine façon, Elie avait hérité de cette faculté à aimer le silence.
Une fois dans la demeure familial, un faible "bonne nuit" s'échappa des lèvres de l'adolescente alors que sa mère se contenta d'un bisou sur le front de sa fille qui rejoignit son lit. Incapable de dormir, elle écoutait le silence de la maison, jusqu'à que les notes d'un piano arriva jusqu'à ses oreilles, un sourire étira ses lèvres alors que sa mère commençait à chanter, Elie adorait entendre sa maman chanter, elle avait apprit déjà quelques morceaux au piano mais n'arrivait pas à la cheville de celle qui l'avait mise au monde. Elle s'endormie doucement, bercé par la voix de sa mère, et s'en vraiment faire attention, elle se mit elle aussi à chantonner les paroles qu'elle connaissait pour les avoir tant entendus, jusqu'à sombrer totalement dans les bras de Morphée, un jour, elle serait comme sa maman..


Dans un saloon de la ville située à quelques kilomètres du ranch des Alvarez, un cowboy aux courbes un peu trop féminines fixait tour à tour les hommes assit à une table à quelques mètres de la sienne, pour la plupart ils avaient bien bu et riaient à gorge déployé devant le regard glacial de la jeune femme. Elle avait vingt ans, dans la fleur de l'âge, des cheveux sombres et un regard envoûtant, un corps bien dessiné.. En somme, une belle jeune femme, mais à cet instant elle ne portait pas les robes d'usages, vêtu comme un véritable cowboy, avec sa main gauche elle jouait avec un couteau et de la droite, elle apporta jusqu'à ses lèvres un verre à demi plein d'un liquide topaze orangé, une petite grimace s'étira au coin de sa fine bouche après avoir avalé tout le whisky. Elisabeth Alvarez n'était plus la jolie petite fille souriante d'autrefois, ses yeux étaient dure et triste, une haine y était parfaitement palpable, surtout depuis qu'elle fixait la table où les meurtriers de ses parents étaient assit.
La mine sombre, elle revoyait danser devant ses yeux la scène. C'était tout juste deux ans auparavant, une bande d'hommes étaient venu réclamer à manger et à boire au ranch, ils faisaient les malins, réclamant également les meilleurs chevaux du père de la jeune femme, en remarquant l'indienne, ils avaient provoqués et cherchés la bagarre en la traitant de tous les noms, évidemment, cela avait très vite dégénéré, tuant sans scrupule le grand frère d'Elie et son père, ils se sont ensuite amusés avec Yepa avant de la laisser se vider de tout son sang, les gens en avaient parlés comme "Le massacre des Alvarez". Mais ils l'avaient mérités, Jack n'aurait jamais dus épouser une indienne. Puis c'était finit, on en parla plus.. Tout le monde avait oublié leur fille, la douce et souriante Elisabeth qui était dans l'un des près loin du ranch, en entendant les coups de feu elle était revenus, mais pas assez vite, en arrivant elle n'eut que le temps de voir partir une bande de six hommes, leurs visages étaient imprimées dans sa mémoire à jamais, ainsi que celui de sa mère, recouvert de sang, elle était morte avec le nom de sa fille sur les lèvres.

Elie ferma les yeux et retint de justesse les larmes, ces salauds étaient là, juste devant elle. Ils n'avaient rien emporté ce jour là, violence gratuite, tout simplement. Après avoir enterré sa famille en se vidant de toutes les larmes de son corps, celle qui venait d'avoir dix huit ans à l'époque remplit un sac avec tout ce dont elle aurait besoin, elle prit tout l'argent qui était de côté, des provisions, et choisit une jeune pouliche à peine dressée pour partir, elle avait vu naître la jument à la robe isabelle et malgré le tempérament fougueux de l'équidé, elle lui faisait confiance. Avant de quitter les lieux, elle libéra tous les chevaux et partit, suivit par le chien blanc et noir de la famille qui ne comptait pas lâcher son dernier reperd. Deux ans après, elle avait grandit et murit, s'était entraînée pour devenir, comme elle le disait petite, plus forte que les hommes, elle s'habillait comme eux, dans ses affaires, il y avait deux robes, le reste, c'était des vêtements masculins qu'elle préférait très nettement aux féminins. Libseth avait également récupéré les six poignards de la maison, trois appartenaient autrefois à son père et les trois autre à son frère, ainsi qu'un vieux fusil de chasse, à cet instant, celui-ci était d'ailleurs chargé et posé contre sa jambe, elle voulait attendre qu'ils sortent, cela ne tarda d'ailleurs pas et elle les suivit de près, très près.


- Hey !
- Oui ? Oh, salut ma jolie..
- Quand j'étais petite, j'étais heureuse. Mais vous m'avez tout prit.
- Quoi ?
- Je viens pour venger ma famille, je m'appelle Elisabeth, Elisabeth Alvarez.


Les mots étaient sortit très calmement, au fur et à mesure, elle avait relevé le fusil de chasse et à peine avait-elle prononcé son nom de famille, que l'un d'entre eux écarquillé les yeux, incrédule. Le temps qu'ils réagissent, deux hommes étaient au sol avec une balle dans la tête. D'autres coup de feu résonnèrent très vite après, un seul sur les cinq avait eut le temps de sortir un colt navy, la brunette ne fit pas plus attention à l'arme à feu, ce n'était pas son truc, elle laissa d'ailleurs le fusil de chasse près des corps, attrapa sa monture et partit au galop sans plus attendre, personne n'eut le cran de la suivre, trop surprit pour réagir, et au fond, elle leur avait rendu service, car cette bande n'était pas très appréciée dans le coin.

Quatre ans ont passés, Elisabeth à toujours sa jument, un brin rebelle mais attachante, et le chien, qui ne semble pas près de la lâcher, il lui tient compagnie. Plusieurs choses l'empêchent de mener une vie normale, elle ignore si elle est recherchée et c'est pour cela qu'elle reste rarement plus de quelques semaines dans une nouvelle ville, et en réalité, elle continue de chercher le sixième hommes responsables de la mort de sa famille, après peut être qu'elle sera en paix avec elle même, mais elle vivra toujours avec la peur d'être retrouvée et elle sait que plus jamais, elle ne mettra les pieds sur les terres de son enfance. Cette belle jeune femme parcourt donc les villes, tantôt pianiste, tantôt chanteuse, ou les deux, elle à hérité des dons de sa mère, pas pour la médecine, bien qu'elle sache s'en sortir en cas de petits bobos, mais pour la musique et le chant. Pas mal de fois, ont lui à proposé de devenir fille de joie, ce qui n'est pas surprenant avec son physique, mais cela ne l'intéresse pas, d'ailleurs même si elle chante d'une voix aguicheuse et si elle allume ouvertement les hommes dans les saloons, aucun ne l'a jamais touché, cette tueuse est un ange pur, d'une certaine manière..

Avatar : Eva Green.

Comment avez-vous connu le forum ? Par hasard.

Bienvenue à toi jolie Babeth ! Un bon début de fiche en tout cas et vivement qu'elle soit terminée ^^
C'est cool trois nouveaux sur le forum, on va pouvoir lancer une bonne dynamique, yes...

...

Comment ça plus forte que les garçons ?!?

*gueule dans le saloon *

"Hé les mecs, y a une pisseuse qui veut faire des bras de fer" (ouais bon, ok, de la part d'un type qui prend surtout du lait de chèvre au saloon, c'est un peu culotté...)

Hola guapa !

C'est pas mal, tantôt jolie diva, tantôt femme fatale, ça ne peut être que du bon ^^

Va falloir que je fasse gaffe alors, heureusement que mon Rafael n'est pas macho !

Sinon, bonne fiche, un peu longue, deux ou trois fautes par ci par là, mais une histoire intéressante pour une personnage intéressant.

Et oui on est 3 nouveaux presque d'un coup sur le fofo ! Peut être faudra-t-il se regrouper, qui sait ? ^^

Bienvenue, je te valide,
après est-ce qu'une indienne et un blanc peuvent être ensemble? hmm, je grincerai un peu des dents mais bon je fermerai les yeux

Très belle fiche en tout cas et bienvenue aussi à tous ce que je n'ai pas pu lire

Non moi ça me va ^^

Bon jeu ma grande!